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Lilith Blackmoon : Parfois l'on tombe sur un os
Lilith Blackmoon
Grande Sorcière Nécromancienne
Lilith Blackmoon
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Membre depuis le : 23/02/2019
Sam 23 Fév - 23:59


27 ans Sorcière nécromane (GS si possible)Marchande d'étrangetés
Lysandra Throne of Glass

Lilith Blackmoon





« Je renie la Vie et la Lumière !
J’offre mon corps à la Nuit et à la Mort !
J’abandonne mon âme à la Guerre !
Mon nom est celui du Chaos et des Ténèbres !
Inconnu de la vie comme de la mort,
A jamais je régnerai sur les ombres ! »
Composition personnelle

Cela fera cinq ans à la prochaine aube que j’aurais quitté le village de mon adolescence située non loin de la forêt que l’on prétend être Brocéliande. Je ne me souviens pas d’avoir vu de magie dans ces bois mais ma grand-mère, et moi, y avons pratiqué notre art obscur. Et oui, ce que tu tiens entre tes mains, ces mots qui défilent sous ton regard avide, ne sont rien d’autres que le journal d’une nécromancienne.

Mon nom est Lilith Alinor Jeanne Blackmoon, fille d’Amelia Blackmoon et d’Edouard Hess, un chasseur de sorcière venue de Danvers. Etrange me direz-vous qu’une sorcière et un chasseur ne se retrouvent ensembles à élever une fille, tout en ignorant chacun la nature de l’autre et en tentant de lui enseigner leur point de vue ? C’est pourtant ainsi que commença ma vie. J’avais vite compris que ma mère haïssait les chasseurs et mon père les sorcières et que si je voulais garder les deux, ne pas briser cette drôle d’harmonie, il me fallait ne rien dire, donner l’image que chacun d’eux voulait voir, successivement. C’est ainsi que certains jours ma mère m’enseignait la nécromancie et d’autres mon père m’apprenait à reconnaître et traquer les sorcières. Il était la preuve vivante que l’amour rend aveugle, voire idiot, puisque chacun de ses conseils aurait dû lui permettre de comprendre que sa petite pharmacienne de femme jouait avec la vie et la mort. Mais j’ai pu constater avec le temps que plus le mensonge était gros, plus il avait tendance à passer.

Toutefois cet état de fait n’était pas éternel. Un jour mon père nous surprit ma mère et moi égorgeant un lapin, au-dessus d’un cercle rituel. Il était censé être absent pour encore une bonne semaine et nous nous étions montrées négligentes. Ce fut une grave erreur. Ma mère reçut une balle en pleine poitrine en tentant de s’interposer entre père et moi et moi, et prise de colère, j’aspirai la vie de ma mère et tuer mon père d’un simple sort. Le pire ne fut pas tant de voir mon père s’effondrait, son visage figé dans une grimace d’effroi à tout jamais mais le plaisir, la puissance qui m’avait envahi en prenant la vie de ma mère, en sacrifiant son existence. Le pouvoir m’avait rendu ivre, je titubai, n’avait plus les idées très claires et je restai bêtement là pendant plusieurs minutes, à regarder deux cadavres, me demandant ce que j’avais fait, alors que je le savais pertinemment. Lorsque je repris mes esprits, je fis ce que ma mère m’avait dit de faire si jamais j’étais en danger et qu’il lui arrivait malheur : faire mon sac et partir chez ma grand-mère. Ce serait difficile de voyager pour une gamine de quinze ans, seule, mais je n’avais pas peur. La magie était là pour moi, puissante, dangereuse, ne demandant qu’un petit sacrifice pour répondre à mes exigences. Certes je n’avais pas achevé ma formation mais ma mère m’avait laissé son grimoire, contenant aussi bien ses sorts que ses potions, qu’une sorcière ne pouvait ironiquement pas faire à cause des histoires de contradiction entre notre magie et la magie produite. J’emportai donc ce précieux livre, ainsi que quelques vêtements, le couteau, et l’étui qui allait avec, que m’avait offert mon père pour mes treize ans et un Remmington que je prenais dans son armurerie, avec une boîte de munitions. Ca ne m’aurait pas aidé si j’en avais fait usage mais mieux valait ça que de crier ouvertement que j’étais une sorcière. Déjà que l’Ordre chercherait à savoir quelle sorcière s’en était pris à l’un des leurs… Autant ne pas rajouter de l’huile sur le feu.

J’aurais su conduire, comme aujourd’hui, j’aurais « emprunté » la voiture de mon père. Non, en fait, vu que mes parents étaient tous deux morts, j’aurais pris ma voiture… Ca fait bizarre de se dire ça après tant d’années. A la place je me servais des bus, taxis et bonnes âmes pouvant me rapprocher un peu de ma destination, contre quelques billets. Ces quelques heures qui me séparaient de ma destination furent les plus longues de ma vie, jusqu’ici. Je ne savais après tout pas ce qui m’arriverai lorsque je serais arrivée, si cette grand-mère ne me chasserait pas, ou si elle serait simplement là. Elle n’avait pas le téléphone, et Sorn, le vieux chat de ma mère, que j’avais embarqué dans mes bagages, ne me donnait pas l’impression que j’avais pris la bonne décision. Mais c’était un vieux ronchon, qui avait ses petites manies et je venais de tout lui prendre d’un coup.

Lorsque j’arrivais chez ma grand-mère Alinor (oui, mon deuxième prénom est celui de mon aïeule), je trouvai une vieille femme occupée à équeuter des haricots. Je ne saurais pas expliquer pourquoi mais je ne m’y attendais tellement pas que je me mis à rire bêtement, alors qu’elle me regardait de travers en me disant « Lilith Alinor Jeanne Blackmoon je peux savoir ce que vous faîtes là ? ». Ce n’est qu’une fois que j’eu retrouvée et mon sérieux et mon souffle que je parvins à lui expliquer la situation. Elle eut dû mal à avaler que j’avais sacrifié ma mère mais elle devait me raconter plus tard que c’était une sorte de tradition familiale, ou plutôt une malédiction vue que c’était rarement volontaire que de tuer l’un des membres de sa famille. Sur le moment, elle ne me questionna pas plus et me montra une chambre où je pourrais dormir, ainsi qu’une salle de bain. Je me contentai ce soir-là du lit où je me laissai emporter par un sommeil torturé. Le lendemain, j’avais un goût de fiel dans la bouche au souvenir de ce qui s’était passé mais je n’eu pas le temps d’y penser bien plus car Alinor se mit en tête de m’occuper. Puisque j’étais là, il fallait bien que je serve à quelque chose et que j’apprenne à ne pas faire crever les villageois en voulant éternuer, comme elle le disait, et doit le dire encore assez souvent. Ce n’était pas la même chose qu’avec ma mère. Ma grand-mère était bien plus exigeante et ne pardonnait pas la moindre petite erreur, m’obligeant à tout recommencer dès le début à chaque fois jusqu’à ce que ce soit parfait. J’avais l’impression de ne pas avancer avec elle, de ne rien apprendre mais avec le recul je sais que j’ai plus appris en quelques années avec elle que je n’aurais appris en un siècle avec ma mère. La magie, c’est un peu comme faire de la broderie : si on multiplie les petites erreurs le résultat ne sera pas à la hauteur.

A dix-huit ans, alors que j’étais devenue le portrait craché de ma mère, aussi pâle qu’elle et avec les mêmes yeux bleus froids, je m’éprenais d’un garçon à peine plus jeune que moi, et comme il semblait assez sérieux, et que je croyais naïvement que ce serait le seul et unique que j’aimerai jamais, je voulue lui révéler l’existence du monde magique, choisissant pour cela de lancer un sort un vendredi 13… Pas très malin. Le sort nous a explosé à la figure et si j’ai survécu, avec une brûlure dégoutante à l’épaule droite, lui avait été changé en poussière. L’avantage c’était l’absence de corps mais ma stupidité me brisa le cœur. Pendant un temps je ne montrai plus le même engouement pour la magie, avant de revenir à la charge, avec une férocité renouvelée. Je m’étais foirée. J’avais perdu quelqu’un que j’aimais. Mais j’étais vivante et je n’allais pas arrêter d’avancer. Je voulais maîtriser ce pouvoir, le dominer pleinement. J’envisageai même prendre la place d’une grande sorcière, m’imposer et régner sur les autres, autant pour satisfaire mon égo -un petit côté moche que je tenais de mon père- que pour me prouver que je n’étais pas incompétente. Quoi de mieux en effet que d’être reconnue comme étant la plus puissante ? Je n’ai jamais évoqué ce second accident avec grand-mère, lui disant simplement avec tristesse qu’il était partie vivre ailleurs.

Trois ans passèrent avant que je ne me décide à voyager à travers le monde. Je ne pourrais devenir la meilleure en restant dans un coin reculé. Il me fallait aussi apprendre à connaître les autres sorcières, les étudier, trouver des failles dans leur carapace afin de les éliminer rapidement lorsque l’heure du Grand Conseil où je me présenterai sonnerait.

Je n’ai pas vu tous les pays de la Terre. Seulement quelques-uns et jamais en intégralité. Même sorcière l’on reste limité à ce qui est humainement possible à accomplir en une durée limitée. J’en ai aimé certains, comme l’Egypte -en même temps je ne pouvais que m’exciter devant de vieilles momies et des tombeaux-, le Pendjab, un peu moins la Russie, surtout que j’avais eu la bonne idée de me promener en Sibérie… J’ai également fait quelques pays d’Asie avant de revenir vers l’Ouest, pour traverser la France, l’Angleterre et finir récemment par entrer aux Etats Unis d’Amérique, direction Danvers. Je ne comptais pas y rester forcément longtemps mais il y avait des sorcières là-bas, donc des renseignements à obtenir et plein de choses à faire ou voir. Bon… J’ai aussi pensé à aller y semer le trouble en levant quelques morts dans les environs des cimetières pour Halloween… J’ai toujours eu envie de faire ça… Ce qui m’a arrêté ? Oh… Juste le besoin de prendre une pelle pour déterrer mes macchabés…

Mon arrivée à Danvers passa inaperçu. Quelques passants regardèrent de travers mon loup, évidemment, mais à part ça… Il n’y en avait pas un pour se proposer à m’aider à porter mes bagages. Bienvenu dans le monde moderne. Après je n’allais pas m’en plaindre. Je ne faisais confiance à personne, d’autant que je comptais, dans un délai raisonnable, transformer en crapaud, ou quelques choses de moins ragoutant encore, une certaine grande sorcière. De ce que je savais, c’était une vieille bique, une vicelarde comme je les aimai guère. Dommage pour elle. J’étais la reine des coups tordus dès que je faisais un minimum d’efforts.

La première chose que je fis ne fut toutefois pas de déclarer une guerre ouverte mais d’aller prendre une chambre dans un hôtel, situé au-dessus d’une grande place, d’où je pouvais surveiller discrètement les allés et venus des habitants, voyageurs et chasseurs. Ce n’est que le jour suivant que j’entrepris de visiter la ville, et essayer de mettre la main sur la grande sorcière nécromane. Pour la pourrir je devais apprendre à la connaître mieux que mes amis. D’ailleurs j’en avais à l’époque des amis ? Pas sûr. Mais revenons à cette magnifique quête et oublions un peu ces détails peu signifiants. Afin de ne pas alerter ma proie, je commençai par me renseigner sur la sorcière qui était arrivée seconde au dernier conseil. Ce n’était évidemment pas une à prendre par-dessus la jambe mais elle n’avait toujours pas digéré son échec, ce qui la rendait irritable et par conséquent plus prompt à faire des petites erreurs et verser tout son fiel. Quelques verres, quelques mots bien placés et j’appris tout ce que je pouvais désirer. Il ne me restait plus qu’à la retirer de l’équation et pour cela rien de plus simple : je lui prenais une mèche de cheveux qui trainait sur son vêtement, en prétextant poser ma main sur son bras pour lui faire comprendre toute ma compassion -fausse bien sûr- puis je la quittai pour retourner dans ma chambre et préparer avec amour une bonne vieille poupée que j’utilisai pour la faire tomber dans des escaliers et la regarder se briser la nuque. Malheur ! Meurtre utile ? Oui et non. Elle m’aurait gêné, à un moment ou un autre.

Je laissai passer deux mois avant de m’occuper de ma prochaine et dernière victime, pour ce plan en tout cas. Il fallait bien la laisser croire que ce n’était qu’un accident qui ne la concernait pas. C’est fou ce que l’on peut devenir paranoïaque parfois ! Je me sentais prête pour l’affronter, en trichant comme une malpropre évidemment, préparant plusieurs endroits où elle avait l’habitude de passer, avec des runes bien crades que je n’aurais qu’à terminer pour la perturber, la blesser ou juste prendre la fuite, car il fallait bien prévoir l’hypothèse où je sortirais perdante de la bataille. J’allais même jusqu’à poser quelques appâts pour détourner les chasseurs, afin d’être bien tranquille puis je lançai une invitation, du genre qui allait bien l’énerver. Il y avait des cadavres facile d’accès aux pompes funèbres et le gardien me laissait prélever ce que je voulais, tant que c’était discret. Bon, cette fois je l’endormi avec une poudre et je forçai un cadavre à se relever, non sans l’avoir vêtu d’un costume qui trainait là et d’un chapeau pour cacher l’hideux trou de balle qu’il avait au milieu du front, puis je lui ordonnai d’aller agresser ma petite grande sorcière… Je ne m’attendais pas à ce qu’il la blesse, juste qu’elle décide de s’intéresser à moi. Ce fut le jackpot. En moins d’une heure, je la voyais débarqué là où je l’attendais, les cheveux battants au vent, dans une robe qui hurlait « sorcière en colère, faîtes place » et je la regardai avec amusement. Je n’étais pas sûr de ces protections contre mes propres sorts mais j’allais vite découvrir sa maîtrise et sa dangerosité. Sphères mortelles, créatures d’ombres et autres mesquineries partirent en quelques instants, après le rituel des injures contre les petites pestes qui pensaient pouvoir lui prendre sa place. Plus d’une fois elle me manquait de justesse, parfois je sentais sa magie m’égratignai mais je comptai l’avoir sur la durée, la forcée à se fatiguer et profitai de la fougue de ma jeunesse. Finalement je pris mon revolver et je lui envoyé du plomb dans la jambe gauche. Du bruit, c’était naze mais l’on en avait fait pas mal déjà et mes attrapes nilgauts n’allaient plus fonctionner longtemps. Il était temps d’en finir.

Oh ce regard noir alors qu’elle était sur un genou au sol… Je la narguai enfin de haut. Pas longtemps. Juste assez pour lui faire une dernière crasse. Pas de modernité. Non. Un assassinat classieux, respectueux presque de sa position : je posai ma main sur son front et, avec un sourire de vicelarde, je me servais de sa misérable existence pour déranger les morts qui dormaient gentiment dans le cimetière à côté. Ca allait mettre le boxon en ville, chez tout le monde. Bon, une vie, même de sorcière, ça fait pas bouger plus d’une poignée de cadavres mais il fallait bien rester raisonnable.

Dernière outrage à ma malheureuse prédécesseur, je lui prenais l’index droit, que j’arrachai méchamment puis je la laissai là, bien en vue en rentrant chez moi. Affaire réglée. Plus qu’à crier sur les toits ma victoire…



Powerful
la Main de Gloire ✗ Fabriquée à partir de la main d’un cadavre humain, habituellement d’un criminel condamné à mort par pendaison ou d’un enfant mort-né, ou d’un fœtus. Elle est directement récupérée sur le corps encore pendu au gibet, ou après profanation de sa sépulture. La main coupée est ensuite momifiée puis associée avec une chandelle réalisée avec de la graisse humaine et une mèche faite des cheveux du mort, si possible. Il est également possible, à la place de la chandelle, d’allumer directement les doigts de la main après les avoir trempés dans la graisse ou la cire.
Elle permet de de diffuser une lumière qui ne peut être vue que du porteur de la main. Sa lumière peut également stupéfiait (rendre immobiles/inconscients) les êtres vivants qui y sont exposés ; elle brûle indéfiniment sans se consumer.

Les Os chercheurs ✗Il s’agit là d’un rituel permettant de traquer la position d’une personne ou d’un objet à condition d’en disposer soit d’une fraction (un cheveu par exemple ou une page d’un livre) soit un objet intimement lié à la personne ou l’objet.
Afin d’exécuter ce soir il faut placer sur une carte des os humains réduits en cendre, versé du sang sur l’objet lié à la chose recherchée puis poser une main dessus en plaçant l’autre au-dessus de la carte et lancer le sortilège oralement. La cendre se dirigera alors vers la position géographique de la cible tant que le lien magique sera maintenu.
Ce sort est assez peu coûteux en années de vie, ne prenant guère plus de quelques mois. Il reste toutefois préférable d’utiliser le sang d’une tierce personne, ou d’un animal, qui n’a pas à être tué pour que le sort fonctionne, afin d’avoir une belle et longue vie.
Le résultat sera plus ou moins précis suivant l’échelle de la carte et des protections magiques peuvent soit empêcher toute localisation, soit limiter la précision du sort à une zone géographique imprécise (un quartier plutôt qu’une rue par exemple).

Familier ✗ Un louve blanche aux yeux jaunes répondant au nom d’Alicia qui la suit depuis ses seize ans. Elle a rapidement tissé un lien mental avec elle.


Screenshot !
Salutations ! J’ai découvert votre forum via un partenariat et il m’a séduit aussitôt ! J’ai donc donné vie à ce personnage.
Sinon l’on peut me connaître parfois sous le pseudonyme de Bardia mais pas que. J’ai 23 ans, vénère les chats (j’ai un dieu chez moi, je peux pas dire que je les aime pas !) et ne peut pas vivre sans café. Le RP, je pratique ça depuis… Huit ans ? Mince je suis déjà si vieux que ça ? Le RP forum ça doit faire trois ans environ.
Ah et le petit poème au début de cette fiche est l’une de mes compositions.
Et maintenant la grande question : c’est où la queue pour faire des bisous aux grandes sorcières ? *s’enfuit*


Lilith Blackmoon
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Invité
Invité
Anonymous
Dim 24 Fév - 8:33
Bienvenue sur le forum !! Ta fiche est super cool ohlala j'ai lu l'histoire d'une traite xldolzjdnfnlslz
en espérant que tu te plaises bien ici !
Invité
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William Di Grigorio
Apprenti Chasseur
William Di Grigorio
Messages : 32
Tokens : 85
Membre depuis le : 13/02/2019
Dim 24 Fév - 11:39
Bienvenue sur le forum ! Je t'avoue que tu me fais découvrir ton avatar, j'approuve grandement :owi: tu aime les chats aussi donc bon on peut commencer un culte non ? What a Face

Bon courage pour ta validation petite nécromane ! <3
William Di Grigorio
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Witch Hunt
PNJ | Compte Fondateur
Witch Hunt
Messages : 63
Tokens : 96
Membre depuis le : 11/10/2018
À propos : Compte fondateur
(www.) – contexte
(www.) – règlement
(www.) – groupes
(www.) – avatars

(www.) – marché noir chasseur
(www.) – boutique sorcière

(www.) – partenariat


Dim 24 Fév - 13:19
Félicitations !
Tu es désormais validé(e) et apte à parcourir librement les terres de Witch Hunt !
MAIS QUE FAIT DONC LA POLICE ? What a Face my oh my je n'ose pas imaginer la prochaine réunion du Conseil, avec Dolly, Raph et Lilith. Explosions garanties.

Pour bien démarrer cette nouvelle aventure, nous te conseillons de jeter un œil du côté de la gestion du personnage, où tu pourras recenser tes rps et tes liens. Si tu as dans ton histoire un personnage jouable que tu aimerais voir incarné sur le forum, n'hésite pas à le proposer dans les prédéfinis ou les pré-liens
N'hésite pas à remplir ton profil et à le personnaliser, pour plus de facilité !

Tu es maintenant libre de te promener dans les rues de Danvers.
Bon jeu !
Witch Hunt
https://the-witch-hunt.forumactif.com
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